Pour ceux qui ne le savent pas encore, la Mauritanie n’est pas un pays constitué que d’arabo-berbere (maure clair ou personne de type sémite ). Bien au contraire, ces arabo-berberes constituent que 20% de la population. Les 80% restant sont des Noirs et parmi eux les Harratins qui représentent la moitié de la population mauritanienne. Mais qui malheureusement sont considérés par ces arabo-berberes comme des esclaves.
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Les Flam à la Fête de l’Humanité 2018
Les Forces de libération africaines de Mauritanie portent à la connaissance de ses membres, sympathisants et amis de la Mauritanie qu’elles participeront pour la 23ème année consécutive à la fête de l’Humanité qui se tiendra les 14, 15 et 16 septembre 2018 au Parc Départemental Georges-Valbon, LA COURNEUVE
A cette occasion, les Flam vous invitent à venir visiter leur stand. Vous y trouverez, comme d’habitude, des animations autour de débats et autres communications socio-politiques sur la situation en Mauritanie
Répondre à cette invitation, c’est soutenir les Flam.
Le département communication des FLAM.
Le problème racial en Mauritanie de 1960 à 1989, une analyse des Flam
Après la guerre civile de 1966, le pouvoir, au lieu de s’attaquer aux causes profondes du mal choisit délibérément la politique de l’autruche en niant l’existence de tout problème racial en Mauritanie. Ould Dadah ne déclarait-il pas au congréés d’Aioun de 1966 : « Non, en Mauritanie, il n’y a des Noirs et des Blancs que pour les sociologues. Il ne saurait être question de bâtir une nation sur des pourcentages aussi fluctuants qu’absurdes. »
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Violences xénophobes en Afrique du Sud
Les FLAM suivent avec effroi et consternation la flambée de violence et de xénophobie dont sont victimes des ressortissants étrangers et principalement africains dans ce pays qui nous est cher. Le pays de Nelson Mandela, de Walter Sisulu, de Oliver Tambo, de Ahmad Kathrada, de Dulcie September méritait mieux. Le combat contre l’Apartheid méritait une autre suite et d’autres lendemains. Nul mieux que Madiba n’a expliqué l’âme de la lutte contre l’Apartheid.
Déclaration de Monsieur Mamadou Sidy BA, Président des Forces de Libération Africaines de Mauritanie (Flam)
Chers concitoyens, chers amis,
Le démarrage de la campagne officielle m’offre l’opportunité de souhaiter à notre pays un processus électoral et une élection libres, démocratiques, transparents et paisibles. Ce sont à ces conditions que le choix du prochain président de la république sera sincère et en phase avec la vérité des urnes. Des interrogations et des doutes subsistent. Ils sont légitimes et justifiés par la persistance de pratiques politiques ancrées. Veillons à ce qu’ils ne deviennent ni anesthésiants, ni démobilisateurs. Notre vitalité démocratique en dépend.
Comme les temps changent! par Tijane BAL
Il fut un temps où un mouvement politique, plutôt marxisant, soutenait, sans la rejeter, que la lutte contre le racisme, devait émarger au registre des « contradictions secondaires », la priorité devant être la « lutte contre l’impérialisme » et ses relais internes: les « fantoches » et autres » compradores ». (mot portugais désignant des relais commerciaux d’intérêts étrangers). Mots d’un autre âge sur lesquels néanmoins il faut se garder de porter un regard rétrospectif condescendant. Ils portent l’empreinte de leur époque.
En Afrique, le fantasme d’une « communauté peule » radicalisée
Les Peuls focalisent actuellement l’attention du fait de l’instrumentalisation de certains d’entre eux par des groupes fondamentalistes tentant de s’implanter localement dans le Sahel. La terreur djihadiste crée une angoisse sociale chez les autres communautés dans les zones menacées, faisant des Peuls des boucs émissaires du fait de leurs prétendues affinités historiques avec l’islam radical. L’identité peule apparaît ainsi comme un épouvantail symbolisant la menace djihadiste. Pourtant, cette identité est trop hétérogène pour établir un lien aussi simple.
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