Monsieur Mamadou Sidy BA, Président des FLAM interpelle les Chefs d’Etat participant au sommet du G5
ParFLAMTemps de lecture 1 minute
Monsieur Mamadou Sidy BA, Président des Forces de Libération Africaines de Mauritanie (FLAM) interpelle les chefs d’état participant au sommet du G5 qui s’est tenu le 30 juin 2020 à Nouakchott. Dans une lettre qu’il leur a adressée à la veille de la tenue de ce sommet, le Président des Flam a tenu à attirer leur attention sur les violations systématiques de droits en Mauritanie, principalement à l’encontre des citoyens négro-africains du pays.
Sidi Mohamed Ould Boubacar n’est pas un candidat comme les autres. Pour une raison simple. Il a été un très proche collaborateur de Moawiyya Ould Sid’Ahmed Taya dont le régime s’est rendu coupable de pratiques d’extermination voire, pour certains, de génocide. Plutôt que de se présenter à des élections, il devrait rendre des comptes. Pour cela, il devrait répondre à des questions simples:
Ce jour 3 janvier 2018, mon frère Daha Alassane Diop, accompagné de son épouse se rend au centre d’accueil des citoyens de Boghé pour « enrôler » cette dernière.
Après avoir fourni tous les documents nécessaires pour cette opération, le chef du centre, Monsieur Mohamed Moustapha Saleck Sid’Ahmed opposa un refus catégorique à cet enrôlement et exige l’acte de naissance original d’Adama Abdel Aziz, épouse de mon frère.
Alioune DIOP, fondateur de Présence africaine en 1947, est à la base du Colloque en 1956 des intellectuels à la Sorbonne et du Festival Mondial des Arts Nègres en 1966, à Dakar. Sa contribution à l’éveil de la conscience des peuples africains, à la Négritude et au Panafricanisme est déterminante. Présence africaine célébrera ses 70 ans, en grande pompe, en novembre 2019.
L’ONG venait effectuer une mission de recherche sur les droits humains dans le pays où les « séquelles » de l’esclavage, bien qu’abolit en 1981, perdurent.
La police mauritanienne a refoulé, dimanche, à son arrivée à l’aéroport de Nouakchott une délégation d’Amnesty International qui souhaitait effectuer une mission sur les droits humains dans ce pays, a-t-on appris, mardi 19 mars, auprès de l’organisation et des autorités.
Claudia Jones, probablement le jour des funérailles de Kelso Cochrane, immigrant caribéen tué par les « Teddy Boys » à Londres en mai 1959.
Née dans les Caraïbes, émigrée aux Etats-Unis puis exilée à Londres, cette militante pour les droits civiques est enterrée à Londres à gauche de Karl Marx.
Quartier paisible du nord de Londres, Highgate n’accueille que peu de touristes. Ces derniers mois, ceux qui grimpaient la colline pour accéder au «village» venaient principalement pour visiter le mausolée de fortune de George Michael, une des nombreuses célébrités à résider dans le coin, tout comme Kate Moss ou Jude Law. Décédé le jour de noël 2016, le chanteur est enterré au cimetière d’Highgate, petit Père-Lachaise victorien qui abrite aussi les dépouilles du guitariste Bert Jansch, de Malcolm McLaren, le manager des Sex Pistols et une pierre tombale imposante sur laquelle trône une gueule de marbre aussi hirsute que grandiose: celle de Karl Marx.
Malgré son interdiction, l’esclavage demeure une pratique encore courante en Mauritanie. Les dirigeants ont peu de raisons de vouloir changer ce système issu des divisions raciales. Témoignages.
“J’ai été frappée, torturée, humiliée.J’étais toujours la première levée et la dernière couchée”, raconte Habi Mutraba en éclatant en sanglots. Comme600 000 de ses compatriotes, cette Mauritanienne a été esclave dès sanaissance. Sa mère ayant été mise enceinte par son “maître”, Habi a été donnéeà un parent de celui-ci.