Ces derniers temps, à Sélibaby, ils sont nombreux parmi les couples mariés, les enfants possédant des jugements de naissance et les demandeurs de pièces à faire des va-et-vient entre le centre-ville et le centre d’enrôlement dans l’impossibilité de trouver satisfaction.


Et pour cause, la machine servant à l’enregistrement d’actes mariages est en panne depuis les dernières inondations, les extraits manquent et il faut présenter l’enrôlement de l’un des membres de sa famille en plus du jugement de naissance qualifié de non bon ou duquel on doute malgré qu’il soit établi en bonne et due forme par un juge.

Pourquoi s’en prendre aux simples usagers en rejetant leurs documents ? Telle est la question que se pose tout le monde sans réponse.

Les demandeurs d’extraits d’enrôlement, d’enregistrement d’actes de mariage et ceux exprimant le besoin de s’enrôler sont très nombreux en cette période, en milieu scolaire surtout. Car bon nombre postule aux différents concours ou aux examens nationaux, entrée en 6éme, Brevet et Bac comme officiels ou candidats libres.

En effet, cette année, pour passer ces examens, le département de l’éducation, à travers le service d’examens et d’évaluation, a exigé deux photos d’identité, l’extrait d’enrôlement actualisé, une copie de la carte d’identité ou de la carte d’identité scolaire. Raison pour laquelle, il y a eu une ruée vers le centre. Mais au niveau du centre d’enrôlement, l’obtention de l’une des pièces citées est source de difficulté.

Voilà des problèmes qu’on ne rencontre pas ordinairement dans les autres centres comme celui d’ould yengé sans lequel beaucoup d’élèves du lycée de Sélibaby, candidats au BEPC ou au Bac verront leurs dossiers rejetés au motif de manque d’extrait actualisé vendu à 200MRO.

A cela s’ajoute l’intransigeance qui a commencé avec la prise de fonction de l’actuel chef de centre .La dernière mutation opérée au sein de ce centre devrait permettre selon certains de mettre un peu d’eau dans le vin afin de mieux servir les usagers. Mais pour l’instant, c’est le calvaire continu pour ces derniers.

Source:cridem.

A lire également

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *