la promotion de marins tous beidanes (blancs)

L’apartheid mauritanien surclasse celui de l’Afrique du sud 34 ans après la publication du manifeste du négro-mauritanien opprimé en 1986.

Définition du mot apartheid : Discrimination, voire exclusion, d’une partie de la population, qui ne dispose pas des mêmes droits que le reste de la collectivité.

La photo ci-dessus reflète la face hideuse du  système beïdane ( voir le sens) mauritanien dans toute sa dimension au sein de l’armée, la composition du gouvernement et toute l’administration centrale du pays.

Le système beïdane :

Ce système tel que décrit dans le manifeste veut dire tout simplement que la gestion du pays est faite seulement dans l’intérêt d’une et d’une seule communauté celle des beïdanes ( blancs ). Les autres communautés noires sont de facto exclues de l’administration centrale du pays.

Il faut préciser que les gens qui ont conçu ce systèmes n’ont pas pensé que la Mauritanie est un pays multiculturel, peuplé de noirs et de blancs.  Et donc la gestion du pays doit être partagé, chaque communauté doit y trouver sa place et son compte dans le respect de notre diversité. Tout celui qui nie ce fait n’a qu’à regarder  les secteurs suivants de l’état :

-Le commandement de l’armée,

-Les gouverneurs,

-Les préfets,

-Les hommes d’affaire et tous les leviers de l’état sont détenus par une seule communauté au vu et au su de tout le monde sans vergogne.

En 1986, l’exclusion des noirs était partielle, aujourd’hui elle est quasi-totale et entière.

EXIGENCES : 

Le président de la république Mohamed GHAZOUANI doit engager des réformes radicales et courageuses pour que les autres communautés (Wolof, Soninké, harratine, fulbé, Bambana) trouvent leur place dans la gestion du pays. Car Aucune communauté ne peut accepter de vivre indéfiniment dans l’indignité et l’injustice.

Le 25/12/2020

FLAM : Département de la communication

 

 

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