Si j’étais Ibrahima Sarr, si j’étais Samba Thiam, par Tijane BAL
Que l’on m’autorise deux précisions préalables avec l’espoir de lever toutes équivoques éventuelles. La première est que ces lignes sont un simple billet d’humeur. Merci aux lecteurs (éventuels) de ne les lire qu’à cette aune. La seconde est que seul le souci de l’ordre alphabétique explique qu’Ibrahima Sarr soit systématiquement cité en premier tout au long de ce texte. Il ne faut y voir aucun parti pris. Ni aucune prévention…