Ghaly Ould SOUFI : le lieutenant « flingueur », un tortionnaire en liberté
«… Je m’en fous, celui qui décorne je le flingue et je rends compte qu’il est mort de diarrhée ». C’est le lieutenant Ghaly, nouveau patron du fort qui parle. II s’adresse a un groupe de détenus. Et c’est pendant ses tout premiers jours au fort. Des énormités de cette facture-la, a base de cynisme, d’enfantillage ou de vulgarité, qui illustrent bien certains traits de sa personnalité, le lieutenant Ghaly…